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Manifestation contre le SCRSNous reproduisons un autre appel de la Commission populaire à une manifestation, cette fois contre le Service Canadien de Renseignement de Sécurité, le 29 mars à 8h00. Le tract est en pièce jointe. (English below) Espion-nes, professionnel-les de l'interrogatoire et de la filature : nous avons besoin de vos talents pour « ficher » des individus louches qui menacent la sécurité de nos communautés. PROFILONS LES PROFILEURS ! le JEUDI 29 MARS à 8 heure du matin www.facebook.com/#!/events/247328748694346/ Après avoir minutieusement étudié la déclaration rendue publique par 70 organisations sociales affichant leur position de non collaboration avec le Service canadien de renseignement de sécurité [1], les analystes du Réseau de la Commission Populaire ont identifié une menace réelle pour nos communautés : les agents du SCRS. Grâce aux témoignages de leurs victimes, nous avons pu documenter les tactiques de ces agents menaçants et sommes maintenant prêts à leur appliquer la même recette : visites surprise sur les lieux de travail, harcèlement et interrogatoires intimidants. Le 29 mars, nous accueillerons les agents secrets aux portes de leur bunker avec nos caméras, nos questions et nos airs inquisiteurs. Nous vous invitons à vous joindre à nous lors de ce rassemblement pour faire subir au SCRS ce que ces agents font subir à nos communautés. NON AU PROFILAGE, NON AU HARCÈLEMENT ET À L'INTIMIDATION! Pour ficher les profileurs, vous aurez besoin de : [1] Pour consulter le communiqué de presse, la déclaration et les organisations qui l'endossent www.commissionpopulaire.org/fr/csis/ ** Nous acceptons toujours les appuis des organisations qui veulent se ** Téléchargez « Connaissez vos droits face au SCRS » :::À propos de la campagne de NON COLLABORATION AVEC LE SCRS::: Depuis des décennies, le Service canadien du renseignement de sécurité (SCRS), l’agence canadienne d’espionnage, a effectué du profilage contre les communautés et les mouvements sociaux et les a soumis à la surveillance, au harcèlement, aux menaces et autres abus. Le SCRS est l’agence gouvernementale mandatée pour interdire les immigrantEs du Canada sur la base de soi-disant raisons sécuritaires, entamer le processus des «certificats de sécurité», filtrer les employéEs gouvernementaux et inscrire les organisations et les individus sur des listes noires. Il partage régulièrement de l’information personnelle de Canadiens et de Canadiennes de façon régulière avec des agences d’espionnage étrangères. Dans le cadre de son travail, le SCRS s'appuie sur la culpabilité par association et le profilage; il considère suspectes certaines opinions politique et religieuses, ainsi que des communautés entières. Il surveille des communautés autochtones, des groupes de personnes migrantes, des mosquées et des organisations politiques. Le SCRS a été fortement impliqué dans des cas de renvoi vers la torture mais est sorti indemne de ces scandales et de nombreux autres – tels que la falsification de preuves et l’infiltration de syndicats –, grâce à la protection que lui accorde son large mandat, le secret et l’absence d’imputabilité. Au cours de la dernière décennie, le budget du SCRS a augmenté de 140%, atteignant les 430 millions de dollar en 2009. En 2010, le SCRS employait près de 3000 personnes. Avec un gouvernement Harper majoritaire et des attitudes de droite favorisant l’accroissement de la surveillance et de l’exclusion au Canada, les problèmes liés au SCRS vont fort probablement s’amplifier. Le Réseau de la Commission populaire voit le SCRS comme un porte-étendard de la tendance politique actuelle et un puissant outil utilisé par l’État pour mettre en application des politiques racistes et répressives. Depuis 2009, notre projet Surveillance du SCRS a fait la promotion de la non collaboration avec le SCRS. :::Revue de presse::: CUTV La Presse : Journal Métro: 24h : TVA-Nouvelles : CTV : Le Devoir : ----------------- twitter.com/#!/peepcomm Le Réseau de la Commission populaire est un groupe de travail du GRIP Concordia. +=+=+=+=+=+=+=+=+=+=+ PROFILE THE PROFILERS ! Thursday, March 29th at 8 AM www.facebook.com/#!/events/247328748694346/ Following a detailed study of the statement launched by 70 community organizations endorsing a campaign of non-collaboration with the Canadian Security Intelligence Service (CSIS) [1], the People's Commission Network has identified a real threat to our community: CSIS agents. From testimonies of their victims, the People's Commission has been able to document the intimidation tactics used by CSIS agents and we are now ready to give them a taste of their own medicine: surprise visits at work, harassment, and intimidating interrogations. On March 29th, we will greet these secret agents at the doors of their bunker with our cameras and our questions. We invite you to join us at this rally to turn the tables on CSIS! This event takes place in the context of the month against political repression (www.cobp.resist.ca/evenements). NO TO PROFILING, NO TO HARASSMENT, NO TO INTIMIDATION! To profile the profilers, please: [1] See the press release, statement and list of endorsing organisations at www.commissionpopulaire.org/fr/csis/ ** We are still accepting endorsements from groups who would like to join the non-cooperation campaign: www.commissionpopulaire.org/en/csis/whattodo-csis.php ** Download "Know Your Rights" booklets about CSIS: www.commissionpopulaire.org/en/csis/booklet.php :::About the People’s Commission Network’s CSIS Watch Campaign::: For decades, the Canadian Security Intelligence Agency (CSIS) has profiled communities and social movements, subjecting them to surveillance, harassment, threats and other abuses. CSIS is the government agency mandated to bar immigrants on so-called "security" grounds, to initiate the process of "security certificates", to screen government employees and place individuals and organizations on blacklists. It regularly shares personal information about people in Canada with intelligence agencies overseas. As part of its work, CSIS relies upon guilt-by-association and profiling; it considers certain political and religious opinions - along with entire communities - inherently suspect. It monitors indigenous communities, groups of immigrants, mosques, and political organizations. CSIS was heavily involved in cases of rendition to torture, but emerged unscathed from these and other scandals - including the falsification of evidence and infiltration of unions - due to the protection afforded it by its broad mandate, secrecy, and lack of accountability. Over the course of the past decade, CSIS’s budget increased by 140%, reaching 430 million dollars by 2009. In 2010, CSIS employed approximately 3000 people. With a Harper majority government and right-wing attitudes that favour increased surveillance and exclusion in Canada, problems related to CSIS are very likely to worsen over the coming years. The People’s Commission Network views CSIS as a standard-bearer of current political trends and a powerful tool used by the State to implement racist and repressive policies. Since 2009, our CSIS Watch campaign has promoted non-cooperation with CSIS. :::Media review::: CUTV CTV : La Presse : Journal Métro: 24h : TVA-Nouvelles : Le Devoir : ---------------- facebook.com/ReseauCommissionPopulairePeoplesCommissionNetwork People's Commission Network is a working group of QPIRG Concordia.
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