Amnistie Internationale dénonce la brutalité policière dans le cadre de la grève étudiante.

Amnistie Internationale affirme que des manifestations légales et non-violentes ont été la cible à répétition de la violence et d'abus policiers depuis le début de la grève étudiante.


Plus précisément, elle dénonce les violations de droits fondamentaux par "[l']usage excessif de la force par les autorités policières, [les] arrestations massives et potentiellement arbitraires, [l']intimidation et [le] profilage par des forces de sécurité sur les lieux de l'université" et cite le cas d'une manifestation qui a été attaquée par la police dès qu'un ordre de dispersion a été donnée, sans laisser le temps à quiconque de se disperser avant de se faire tabasser.

Comme de quoi on n'invente rien en parlant de brutalité policière...

Par Pascal Lebrun
Pour l'Agence de presse libre de Pointe-Saint-Charles